Les Yvelinois doivent pouvoir continuer à décider de leur avenir sans dépendre du bon vouloir des élus des Hauts de Seine (majoritaires avec 48 élus contre 42 dans une assemblée fusionnée) qui peuvent avoir des intérêts divergents.
Les Yvelinois doivent pouvoir continuer à décider de leur avenir sans dépendre du bon vouloir des élus des Hauts de Seine (majoritaires avec 48 élus contre 42 dans une assemblée fusionnée) qui peuvent avoir des intérêts divergents.
Le Parc naturel régional a pour but de rétablir le cours naturel de l'Yvette dans cette réserve qui occupe le fond de vallée entre Saint-Rémy et Gif-sur-Yvette, avec deux objectifs : développer la biodiversité et mieux lutter contre les inondations.
L'attractivité du département des Yvelines tient pour une part à la richesse de ses espaces naturels et agricoles qui couvrent 85% du territoire.
La France est à la croisée des chemins et les Français vivent en ce moment un paradoxe tragique : une campagne électorale "pourrie" alors que notre pays doit faire des choix décisifs pour relever les multiples défis qu'il doit affronter : à l'intérieur une crise économique, sociale et morale sans précédent depuis 1958, à l'extérieur un monde où l'intensité conflictuelle politique et économique menace de rejoindre celle des années 1930.
Le budget d'investissement du département des Yvelines s'élève à 309 millions d'euros en 2017, hors capital de la dette.
Ce n'est pas le goût du paradoxe, mais une remarquable exposition au Pavillon de l'Arsenal démontre que la physionomie de la ville de Paris a été façonnée dans la seconde moitié du XIXe siècle par le préfet Haussmann selon des préceptes qui sont aujourd'hui ceux des urbanistes et des architectes de la ville "durable" : densité, proximité, mixité fonctionnelle et sociale, etc...
Le syndicat Yvelines Numérique, un satellite du Conseil départemental, a lancé un "appel à manifestation d'intérêt" au lieu d'un appel d'offres pour la construction et l'exploitation d'un réseau de fibre optique dans les communes rurales. Derrière ce changement de procédure se cache un autre changement, radical : ce ne serait plus le syndicat Yvelines Numérique qui prendrait en charge le déploiement de la fibre optique mais un ou des opérateurs privés à l'instar des zones urbaines (dites AMII par l'ARCEP).
Pourquoi ce changement ? Parce que des opérateurs privés seraient désormais intéressés par le déploiement de la fibre optique dans les communes rurales yvelinoises alors que l'ARCEP avait réservé ce déploiement à l'initiative publique jugeant qu'il n'était pas rentable.
Rien de surprenant. J'ai toujours pensé que la sociologie des communes rurales yvelinoises n'avait rien à voir avec celle de la province et que ces communes constitue un marché potentiellement intéressant pour les opérateurs privés car la demande de la population y est très forte, plus forte que dans les zones urbaines comme l'a prouvé l'expérience de la commune de Lévis Saint Nom.
La procédure devrait aboutir en juin. Peut-être aura-t-on alors des réponses à de nombreuses inconnues : calendrier du déploiement, mode de financement notamment des raccordements chez les usagers, quid de la montée en débit prévue dans 1/4 des communes rurales et déjà obsolète, etc...
Enfin le bout du tunnel ???
Dès le milieu des années 2000 le Parc naturel régional a mené une étude en vue du déploiement de la fibre optique sur son territoire, mais le projet a avorté car rien n'était mûr, ni la législation, ni la motivation des collectivités et des opérateurs.
Elections départementales 2015
La loi ALUR (Yvelines Première)
Les Yvelines et l'aéronautique
Budget 2012
Empreinte écologique