Yves VANDEWALLE

Ancien Député des Yvelines
Conseiller, Vice -président du Conseil départemental 78 (1999-2021)
Président du PNR de la Haute Vallée de Chevreuse(1998-2021)
Vice-président de la Fédération des Parcs Naturels Régionaux de France

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5. Libres opinions

FUSION 78 - 92, l'abandon ?

14 mai 2021

A l'approche des élections départementales, l'illusionniste Pierre Bédier tente de désamorcer la bombe électorale de la fusion du département des Yvelines avec celui des Hauts-de-Seine.

Un projet qu'il a fait voter par l'Assemblée départementale le 30 juin 2017.

Personne ne doit s'y tromper, ne pas être à l'ordre du jour ne signifie pas pour autant l'abandon du projet.

Que veut-il vraiment ? Ne pas perdre la face car c'est un échec majeur ou simplement endormir les électeurs pour mieux reprendre la main au lendemain des élections ?                                         ;

JNb




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24 juin 2017

Pourquoi vais-je voter le 30 juin contre la fusion 78-92 ?

Tout simplement parce que toutes les questions que j'ai posées depuis un an et demi sont restées sans réponse, des questions que vous pouvez retrouver dans mes notes des 21 janvier, 3 et 5 février, 1er avril et 5 mai.
 
C'est à l'aveugle, sans aucune étude d'impact (par exemple sur la fiscalité) et sans l'avis des élus et des Yvelinois, que les deux présidents vont faire voter la fusion. Alors qu'un long débat approfondi devait avoir lieu à l'automne, Pierre Bédier argue désormais de l'élection du nouveau président de la République pour précipiter le calendrier.
 
Pourquoi cette initiative reste-t-elle unique en France (les deux départements de la Savoie cogitent sur le sujet depuis plus de 10 ans sans conclure) ? 
Pourquoi une si bonne idée ne fait-elle pas école ?
 
En fait, la création des intercommunalités doit nous faire réfléchir : elle a créé de la complexité et des impôts supplémentaires alors qu'elle devait simplifier et permettre de faire des économies !!! La Cour des Comptes le rappelle régulièrement. 
 
Quant à la fusion des Chambres de Commerce et d'Industrie de l'Île de France que j'ai défendue en son temps à la demande du président Bernardin, elle a eu pour effet de déplacer le centre de décision de Versailles à Paris. La CCI de Versailles dépend désormais du bon vouloir de Paris et je sais maintenant que ce n'est pas un progrès pour notre territoire.
 
L'enjeu est clair : sommes-nous prêts à laisser d'autres décider de notre avenir ? On n'est jamais si bien servi que par soi-même !
 
Le président Bédier considère que le département des Yvelines n'a plus les moyens de ses ambitions et qu'il faut donc se marier avec les Hauts de Seine.
Je considère que c'est une vision pessimiste et défaitiste que je ne partage pas. Les Yvelines sont encore l'un des départements les plus riches de France : si nous n'avons plus les moyens de nos ambitions alors que dire des autres départements ?
 
Certes, le financement des départements fait problème mais c'est un problème national qui doit trouver une solution nationale et la fusion n'y changera rien.
 
Quant à simplifier le millefeuille administratif territorial, la fusion ne simplifie rien. Elle ne fait que déplacer le centre de décision et l'éloigne des citoyens sans supprimer d'échelon.
 
Au final, la fusion ne peut pas se faire sans l'accord de l'Etat. C'est donc Emmanuel Macron qui décidera du sort des Yvelines, de notre avenir.
 

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15 juin 2017

Fusion 78-92 : le silence assourdissant de l'establishment yvelinois

SINGES2

C'est dans un silence assourdissant que l'establishment yvelinois assiste sans broncher au sabordage du département des Yvelines par des conseillers départementaux qui ont "oublié" d'en parler à leurs électeurs pendant les élections départementales de 2015 alors que ce projet était déjà connu (voir ma note du 5 février 2017). 

Les électeurs yvelinois n'ont donc pas eu le choix car on leur a délibérément caché ce point essentiel. Des méthodes qui suscitent l'exaspération des Français et le rejet d'une classe politique qui ne respecte pas ses électeurs.

Ce silence de l'establishment est d'autant plus surprenant que tous les candidats aux législatives font de la "proximité" un argument de campagne ! Et ce n'est pas en mariant les Yvelines et les Hauts de Seine que l'on va renforcer la proximité ! 

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Fusion 78-92 : Une opération de communication pour séduire les ruraux

RichebourgPrésident du conseil départemental des Yvelines, Pierre Bédier est un tacticien hors pair qui, à quelques jours du vote sur la fusion le 30 juin prochain, est soucieux de vaincre les réticences du monde rural qui ne se reconnaît pas dans une opération de fusion où sa capacité à défendre et faire valoir ses intérêts sera des plus modestes puisque les élus ruraux représenteraient moins de 10% des élus de la nouvelle Assemblée départementale issue de la fusion.
 
Un monde rural dont la plus grande partie est située dans le sud des Yvelines, loin de la vallée de la Seine qui a toutes les faveurs de Pierre Bédier, mais plus proche de Saint Quentin en Yvelines et Paris-Saclay, second pôle économique de l'Île de France après La Défense hors Paris intra-muros.
 
Voilà pourquoi Patrick Devedjian et Pierre Bédier ont monté une belle opération de communication à destination de la presse en visitant une exploitation agricole et un commerce de proximité. Du vrai publi-reportage !
 
Est-ce suffisant pour séduire les ruraux qui ont les pieds sur terre ?
Ce n'est pas certain car ils ont tiré les leçons des "Assises de la ruralité", une opération de communication qui a duré des mois pour accoucher d'une souris ! Un an et demi plus tard rien de nouveau sur les déplacements et un déploiement de la fibre optique qui avance à la vitesse d'un escargot alors que c'étaient les deux priorités issues des Assises.
  
On n'est jamais si bien servi que par soi-même dit la sagesse populaire. La ruralité est à la mode, est-ce le moment de confier son avenir à des citadins qui ne la connaissent pas ? 

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07 mai 2017

Canton de Glaris : les électeurs votent directement leurs lois

GLARIS 2Depuis 1231, les habitants du canton de Glaris se réunissent en assemblée générale - la Landsgemeinde - pour voter à main levée et éventuellement amender les lois cantonales.
Un bel exercice de démocratie directe pour les 40.000 habitants de ce canton suisse qui sont appelés à voter ce dimanche 7 mai.

La Landsgemeinde de Glaris doit préserver son caractère traditionnel. Le gouvernement cantonal est opposé à l'introduction d'un système électronique pour déterminer le résultat d'un vote à main levée lorsque la majorité n'est pas claire.

L'exécutif a pris cette décision après consultation d'experts, a-t-il indiqué mardi. Le parlement cantonal avait demandé au gouvernement d'examiner la possibilité d'introduire un système de comptage électronique dans la Landsgemeinde vieille de plus de 600 ans.L'exécutif recommande au parlement de renoncer à une aide électronique de comptage. L'argument principal est qu'il n'existe actuellement aucun système technique totalement fiable sur le marché qui pourrait être introduit rapidement.

L'autre argument est le rôle du président du gouvernement, le Landamman. La Constitution cantonale lui donne actuellement la compétence de trancher lors de votes serrés. Il perdrait cette compétence en cas d'introduction d'un système électronique.

Enfin, le développement d'un tel système aurait un coût qui est jugé trop élevé par rapport au nombre de fois où il est difficile de juger du résultat du vote à main levée. Au cours des cinq dernières années, cinq votations ont exigé trois votes pour déterminer le résultat, rappelle l'exécutif.

 

 

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05 mai 2017

FUSION 78 - 92 : Quelle autonomie de décision  ? Le 78 sous tutelle du 92 ?

Les Yvelinois doivent pouvoir continuer à décider de leur avenir sans dépendre du bon vouloir des élus des Hauts de Seine (majoritaires avec 48 élus contre 42 dans une assemblée fusionnée) qui peuvent avoir des intérêts divergents.

Cette divergence est patente en matière de développement économique. Les grands pôles yvelinois (Saint-Quentin-en-Yvelines et Versailles-Grand Parc) sont en compétition directe avec ceux des Hauts de Seine (La Défense et Boulogne-Issy-les-Moulineaux) car tous deux visent les sièges sociaux et les centres de recherche-développement.
 
Pas d'angélisme. Les élus yvelinois feraient bien de tirer les leçons de la fusion des Chambres de Commerce et d'Industrie décidée en juillet 2010 et réalisée en janvier 2013. 
Alors que la CCI Versailles-Val d'Oise-Yvelines était indépendante et l'une des plus puissantes de France, elle est sortie considérablement affaiblie d'une réforme qui l'a placée sous l'autorité de la Chambre régionale dominée par Paris et qui a réduit son territoire au seul département des Yvelines.
 
Jusqu'à preuve du contraire, cette fusion me paraît contraire à l'intérêt des Yvelinois qui m'ont élu.

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01 mai 2017

Cet argent qui domine le monde

Toute sa vie le général De Gaulle a porté au plus haut deux valeurs ancestrales de notre pays, issues de la noblesse d'épée, le service de la France et le mépris de l'argent (que ce soit à titre personnel - il payait ses factures d'électricité au palais de l'Elysée - ou à titre collectif - "la politique de la France ne se fait pas à la Corbeille" -). 
 
Un demi-siècle plus tard, ces valeurs traditionnelles perdurent dans l'inconscient collectif des Français mais elles sont confrontées aux effets d'une mondialisation d'inspiration anglo-saxonne qui a fait de l'argent la valeur cardinale de la réussite alors qu'elle creuse tellement les inégalités économiques et sociales qu'elle fragilise même les régimes démocratiques.
 
Les Français n'aiment pas l'argent, à la différence des pays protestants du nord de l'Europe occidentale. La différence plonge ses racines dans l'histoire de l'Europe comme le démontre Max Weber dans un ouvrage publié au début du XXe siècle, L'Ethique protestante et l'Esprit du Capitalisme qui, malgré des faiblesses, livre l'une des analyses les plus pénétrantes des forces à l'oeuvre dans la construction des pays européens. 
 
La France, elle, a diffusé les principes humanistes à portée universelle du siècle des Lumières, parfois dévoyés comme au temps de la colonisation, depuis le XVIIIe siècle.
 
L'Europe du Nord, elle, a exporté ses principes aux Etats-Unis jusqu'à en faire la première puissance économique de la planète. 
 
Mais la mondialisation par l'argent qui prévaut aujourd'hui a des conséquences dramatiques car elle bouscule violemment l'ordre des sociétés traditionnelles qui sont tentées de chercher des repères dans leur passé, comme le montre la montée de l'islamisme radical inspirée au départ par l'Arabie saoudite et le wahabisme, alliance des pouvoirs politiques et religieux.
 
On ne désinventera pas l'argent, indispensable monnaie d'échange, mais il est nécessaire de mieux réguler les circuits financiers internationaux : 
1) Pour remettre l'argent au service de l'économie et non l'inverse, 
2) Pour empêcher une concentration excessive de la richesse qui confine à l'absurde lorsque 1% de la population mondiale détient autant de richesses que les 50% les plus pauvres, ce qui pèse sur le pouvoir d'achat et donc le développement économique.
 
La régulation financière devrait être au cœur des politiques économiques, le retour du nationalisme et du protectionnisme est une mauvaise réponse aux défis du Monde.
 
L'ouverture de la France à l'Europe a été le principal moteur économique des "Trente glorieuses", le repli protectionniste des années 1930 a conduit à la seconde guerre mondiale.
 
 

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03 avril 2017

Elections législatives : deux questions aux candidats, 78/92 et loi Duflot

La France est à la croisée des chemins et les Français vivent en ce moment un paradoxe tragique : une campagne électorale "pourrie" alors que notre pays doit faire des choix décisifs pour relever les multiples défis qu'il doit affronter : à l'intérieur une crise économique, sociale et morale sans précédent depuis 1958, à l'extérieur un monde où l'intensité conflictuelle politique et économique menace de rejoindre celle des années 1930.

 
Faire le bon choix est donc essentiel : assez d'amateurisme à l'Elysée !
 
Les élections législatives qui vont suivre en juin seront tout aussi importantes car il faut bien une majorité pour voter les lois et les parlementaires peuvent peser lourd dans la balance des décisions si une majorité claire ne sort pas des urnes.
 
Mais ce n'est pas tout et j'en ai fait l'expérience pendant 5 ans : au-delà des grands choix politiques, les parlementaires pèsent aussi lourd dans les territoires où leur influence peut être décisive.
 
Ce qui me conduit à poser deux questions localement importantes aux candidats :
 
1) Quelle est leur position sur le projet de fusion entre les départements des Yvelines et des Hauts de Seine, un projet politique porté par Pierre Bédier et Patrick Devedjian ?
 
2) La loi Duflot a remplacé nombre de règles d'urbanisme par une mécanique arithmétique simpliste et absurde (25 % de logements sociaux par commune) qui est la négation même de tout aménagement rationnel du territoire. Un jeu de massacre urbanistique au lieu des projets visionnaires des préfets Haussmann et Delouvrier ! Sous l'impulsion de Nicolas Sarkozy, Christian Blanc avait jeté les bases d'un plan ambitieux pour l'Île de France mais après son départ le souffle n'y était plus et son projet a ensuite été réduit au Grand Paris Express et aux abords des gares. Que proposent les candidats pour l'Île de France et les Yvelines ? 
 
Une bouteille à la mer !

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01 avril 2017

Investissements départementaux : République ou monarchie ?

Le budget d'investissement du département des Yvelines s'élève à 309 millions d'euros en 2017, hors capital de la dette.

Cette importante capacité d'investissement est due à l'énorme effort fiscal qui a été demandé aux Yvelinois en 2016 et qui se poursuivra en 2017. Cet effort fiscal devrait bénéficier à tous les Yvelinois et c'est là que le bât blesse car les investissements sont très inégalement répartis sur le territoire. Le nord du département est clairement privilégié par Pierre Bédier, sans même parler de Mantes la Jolie !
 
Le président Bédier assume ce choix qu'il a justifié hier par la situation sociale dégradée de la Seine aval en invoquant les grands principes républicains ! 
 
Des principes républicains que je partage bien sûr. Le département assume ainsi pleinement sa mission de solidarité sociale puisque plus de la moitié du budget de fonctionnement est consacré à la solidarité dont bénéficient quelques dizaines de milliers d'Yvelinois sur une population totale de 1.400.000 habitants.
 
La question des investissements se pose différemment car ils financent des infrastructures qui bénéficient à tous sans discrimination sociale, qu'il s'agisse d'infrastructures de transport, des collèges ou de certains investissements communaux. Qui peut dire que les usagers de la RN10 sont plus ou moins riches que les habitants du Mantois ? Ridicule ! Qui peut dire que le collège de Magny les Hameaux n'accueillerait que des enfants issus de milieux favorisés ? Ridicule !
 
Aujourd'hui c'est Pierre Bédier qui décide des investissements, en fonction de l'intérêt général... et de critères personnels ! La République, c'est "à chacun selon ses besoins" mais dans la monarchie républicaine yvelinoise c'est le "bon plaisir" du roi ! 
 
Comme Pierre Bédier est le troisième président du Conseil départemental que je vois travailler, j'ai de quoi comparer les pratiques ! J'attends avec curiosité la contre-offensive des courtisans et des thuriféraires !
 
Des exemples :
 
1) Le nouveau collège de Mantes-la-Jolie va coûter 24 millions d'euros, un record ! Pierre Bédier m'a répondu hier qu'il s'agissait d'un prototype du collège du futur, très bien ! Mais qu'en est-il des collèges vétustes comme Magny-les-Hameaux dont les travaux de rénovation sont repoussés d'année en année ? Qui peut croire que le nouveau collège de Mantes sera une tête de série alors que le budget d'investissement des collèges s'élève cette année à 72 millions d'euros et qu'il y a plus de 100 collèges ?
 
2) Le département a réaménagé des carrefours avec la RN12 et l'A13, il réaménage la RD30 à Plaisir pour faciliter les échanges entre la vallée de la Seine et Saint Quentin en Yvelines, mais il a aussi dépensé 42 millions d'euros pour la déviation de Saint Nom la Bretèche dont on peut se demander si elle était plus urgente que l'aménagement des carrefours de la RN10 avec les routes départementales à Coignières et Les Essarts le Roi où le trafic quotidien avoisine 70.000 véhicules par jour ? Rien n'est prévu par le Conseil départemental alors que cet axe est l'un des plus chargés du département comme en témoignent les embouteillages permanents.
 
3) Pierre Bédier se flatte d'aider les communes rurales mais le budget des contrats ruraux s'élève à 0,9 million en 2017 pour toutes les communes rurales alors que le Parc du Peuple de l'Herbe qui va bientôt être inauguré a coûté 16,5 millions d'euros pour quelques centaines d'hectares !!!
 
Face à mes arguments le président invoque souvent les "coups partis", des opérations décidées avant son élection. L'argument est faible puisqu'il n'a pas hésité à remettre en cause le projet de déploiement de la fibre optique décidé par son prédécesseur, ou le projet d'aménagement touristique du château de la Madeleine qui accueille pourtant plus de 60.000 visiteurs par an. 
 
Les choix d'investissement devraient être fait collectivement, après débat et sur des critères objectifs. On en est loin !

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30 mars 2017

Haussmann, inventeur de la ville du futur?

Ce n'est pas le goût du paradoxe, mais une remarquable exposition au Pavillon de l'Arsenal démontre que la physionomie de la ville de Paris a été façonnée dans la seconde moitié du XIXe siècle par le préfet Haussmann selon des préceptes qui sont aujourd'hui ceux des urbanistes et des architectes de la ville "durable" : densité, proximité, mixité fonctionnelle et sociale, etc...

HAUSMANNµLa mixité fonctionnelle et sociale était constitutive de l'immeuble : activités au rez-de-chaussée, appartements de prestige au premier et parfois second étage, appartements ordinaires au-dessus et enfin chambres à bon marché au dernier étage. Un immeuble dont la conception, les matériaux et la mitoyenneté garantissaient aussi une bonne ventilation et de bonnes performances thermiques.
 
La densité en a fait aussi une ville "piétonne" où les services ne sont jamais loin grâce à un chevelu de voirie très dense.
 
Il faudra ensuite attendre un siècle pour qu'un nouveau préfet, Paul Delouvrier, lance un grand projet d'aménagement de l'Île de France avec la création des villes nouvelles pour canaliser une urbanisation devenue anarchique.
 
On est bien loin de nos défenseurs de la loi SRU qui ne sont que de tristes comptables sans vision de l'avenir, prêts à tout massacrer pour remplir des objectifs quantitatifs !  

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09 mars 2017

Alain Juppé : "l'exigence d'exemplarité des élus"

Parmi les raisons invoquées par Alain Juppé pour justifier son renoncement à l'élection présidentielle, il en est une parmi d'autres qui montre combien il a compris l'évolution de l'opinion publique je cite :

"Deuxièmement, les récentes péripéties ont encore accru l'exigence d'exemplarité des élus (...). Je ne peux répondre pleinement à cette exigence même si la justice qui m'a condamné m'a exonéré de tout enrichissement personnel."
 
Les candidats à la présidentielle devraient faire des propositions pour répondre à l'attente des Français qui demandent davantage d'éthique dans la conduite des affaires publiques

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