Mesdames, Messieurs, chers amis,
Comme chaque année, je suis heureux de vous retrouver pour ce moment privilégié des vœux, des vœux pour l’avenir de notre pays, des vœux pour notre avenir.
Or notre pays est en proie à un profond pessimisme collectif. Tout particulièrement les jeunes qui craignent de moins bien vivre que leurs parents, alors que la génération de l’après-guerre a bénéficié de l’ascenseur social des trente glorieuses.
Il ne faut pas se voiler la face, la question se pose.
C’est pourquoi nous devons tout faire pour donner aux jeunes les moyens de construire leur avenir en trouvant du travail et un logement. Autrement dit, de quoi fonder un foyer et vivre dignement. Pour cela, nous devons relever deux défis :