En 2009, les deux constructeurs confrontés à une crise d'une extrême gravité avaient bénéficié de 6 milliards d'euros de prêts, à un taux de 6%, dont le remboursement était prévu au plus tard en 2014.
En réalité, les constructeurs auront achevé de rembourser l'Etat d'ici la fin du mois d'avril, l'Etat qui a encaissé 440 millions d'intérêts en 2010.
Une opération gagnante pour l'Etat, mais surtout pour l'activité industrielle et l'emploi car les deux entreprises ont développé leur activité avec de nouveaux modèles hybrides ou électriques.
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