Afin de financer la construction du Grand Paris Express, la taxe et la redevance sur les bureaux ont été fortement majorées, avec de fortes inégalités territoriales qui pénalisent gravement le territoire yvelinois au sein de l'Ile de France.
Lorsque j'étais député, j'ai mené le combat pour modifier ce mode de financement, en proposant une assiette de type taxe foncière plutôt qu'une taxe fondée sur l'arbitraire d'un découpage géographique inapproprié.
La sénatrice Sophie Primas a repris ce combat et elle vient
d'interroger le gouvernement sur ses intentions qui, pour l'heure, ne sont pas claires.
Il est pourtant urgent de modifier l'assiette de cette taxe afin de garantir l'égalité de concurrence entre les entreprises situées en Île de France.
Sinon faudra-t-il saisir le Conseil Constitutionnel d'une "Question prioritaire de constitutionnalité" ?
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