Je livre à votre réflexion ce court extrait du rapport annuel 2010, tiré de l'éditorial de Jean-Paul Delevoye :
"La fébrilité du législateur trahit l'illusion de remplacer par la loi le recul des responsabilités individuelles et de la morale. Le maintien sous perfusion de citoyens assistés permet de soulager nos consciences mais pas de résoudre nos problèmes".
A titre personnel, j'estime que l'excès de réglementation combiné à une judiciarisation malsaine des rapports sociaux conduit à un enrégimentement et une infantilisation de notre société alors qu'il faudrait développer l'esprit d'initiative et la responsabilité individuelle.
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