J'ai pris officiellement mes fonctions à l'Assemblée nationale le 20 juillet, suite à la nomination de Valérie Pécresse comme ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Je suis très heureux de sa nomination, méritée et attendue. Elle va lui permettre de donner toute sa mesure au service des importantes réformes politiques dont notre pays a besoin pour continuer de tenir son rang dans le concert des nations.
J’ai pu le vérifier dès mon arrivée, lundi. Après avoir consacré la matinée à poser quelques jalons dans le dédale (au propre comme au figuré) qu’est l’Assemblée nationale pour un néophyte, j’ai rejoint pour la première fois l’hémicycle à 15 heures, au moment où Valérie Pécresse présentait son projet de loi. Heureux hasard du calendrier parlementaire : prendre mes fonctions à l’Assemblée pour défendre, avec mes collègues, le projet de loi de Valérie m'a apporté beaucoup de satisfaction et de fierté.
Mercredi soir, après trois jours d’un débat complexe, intense et constructif, qui à mon sens donne une belle image du travail parlementaire, son projet de loi a été adopté. Téléchargement la_loi.pdf
Jeudi, j’ai participé à la discussion du projet de loi portant création d’une délégation parlementaire au renseignement. Un projet qui me tient à cœur depuis longtemps et qui permet à notre pays de rejoindre le peloton des grands pays démocratiques, en instituant un contrôle de l’activité des services de renseignement par le Parlement.
J’avais souhaité rejoindre la commission des Affaires économiques, de l’Environnement et du Territoire, mais l’Assemblée en a décidé autrement et je travaillerai plus particulièrement cette année au sein de la commission de la Défense nationale et des Forces armées.
Au bout de ces quatre jours, j'ai pleinement mesuré la responsabilité que vous m'avez confiée. A l'Assemblée ou en circonscription, je serai un député proche de vous, et efficace dans la mesure des moyens… d’un député.